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Si San m'était conté...
15 novembre 2011

Une journée avec les jeunes.

Dimanche 13 novembre : lancement des mouvements de jeunes sur la paroisse de San. Ils sont nombreux dans la cathédrale. La chorale est plus importante que d’habitude. Les instrumentistes aussi. Tous les fidèles ne peuvent pas entrer d’ailleurs, et plus d’une centaine de personne suivent la messe sur le parvis, ou derrière les claustras. Pour l’occasion, le curé me laisse présider et prêcher.

A la fin, nous réunissons tous les jeunes au centre paroissial des jeunes pour une présentation des activités qui leur sont proposées cette année :

  • Les mouvements se présentent d’abord : la CEC (Communauté des Elèves et Etudiants Croyants), mouvement d’action catholique, lié à la JEC, dont le but est d’aider les jeunes à transformer leur vie à la lumière de l’Evangile ; les Amis de Kizito, mouvement d’action catholique pour les petits, lié à l’ACE ; le scoutisme ; la chorale des jeunes.
  •  Puis c’est le centre pastoral des jeunes qui se présente avec ces activités nouvelles d’aide aux devoirs proposées tous les soirs de la semaine de 15 h à 22 h, et ces activités de détente tous les dimanches après la messe (volley, baby foot, jeux de toutes sortes,…), comme un "oratorio" salésien.
  •  Enfin, nous leur donnons aussi tout un programme de récollection spirituelle pour faire grandir leur foi tout au long de cette année.

L’année est donc bien lancée.

Après cette bonne rencontre, nous terminons la matinée par des jeux.  Je me retrouve sur le terrain de volley avec eux. Le terrain fait de gravillons est glissant. Et ce qui doit arriver, arrive. Une mauvaise glissade, je tombe en arrière, et en voulant me réceptionner avec la main, je me tords le poignet. J’ai mal. Voyant mes douleurs, les plus âgés décident de m’emmener à l’hôpital de la ville.

Je découvre ainsi les urgences de la ville. Le médecin qui m’accueille en urgence est un gynécologue ! Il tâte mon poignet, puis fait venir à l’hôpital le radiologue. La salle des radios est dans un piteux état. Le radiologue, une fois le cliché réalisé, vient vers moi avec l’image encore dégoulinante du liquide révélateur. Heureusement, il n’y a pas de fracture. C’est donc une bonne entorse du poignet qui m’handicape encore bien, puisque je rédige cette page avec un doigt.

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